lundi 10 octobre 2011

Les voiture anciennes à Savignac

Les Aînés Ruraux :Voyage du 26 juin au 1er juillet 2011 : le Jura et la Suisse

Dimanche 26 juin : le départ est matinal car la route est longue et c'est vers 19 h que nous arrivons à Malbuisson (Doubs), lieu de notre séjour. Ce village se trouve au bord du lac de St Point à 800 m d'altitude. Durant notre voyage, nous avons traversé des zones brûlées, surtout dans le Charolais où les vaches n'avaient rien à brouter, cela contrastait avec le paysage de notre arrivée où tout est vert, le climat a changé. Dans la région de Malbuisson, il n'y a pas de cultures, rien que des prairies verdoyantes et les fenaisons battent leur plein.

Lundi : nous nous dirigeons vers les Monts du Jura et le Col de la Faucille qui culmine à 1300 mètres. De là, nous avons une vue panoramique sur les Alpes.
Nous entrons en Suisse, donc passage obligé par la douane avec des formalités assez longues. Le chauffeur doit payer une taxe de 30 €, mais ensuite l'autoroute est gratuite. A Nyons, nous prenons le bac qui fait la navette vers Yvoire. Nous sommes en Savoie, dans un très beau site, un village médiéval aux ruelles pavées. Ce village est classé parmi les plus beaux villages de France, aussi les touristes sont nombreux.
Puis, nous faisons route vers Genève, un arrêt dans un square au bord du Lac Léman nous permet de prendre du repos à l'ombre des tilleuls et des photos face au célèbre jet d'eau de 145 m de haut qui jaillit au milieu du lac. En bus, nous faisons le tour de la ville, notre guide nous indique l'emplacement des organisations qui ont leur siège à Genève : siège européen de l'ONU, Comité International de la Croix Rouge; Organisation Mondiale de la Santé….
Nous rentrons à Malbuisson par la vallée du Joux car notre guide veut nous montrer des paysages différents.



Mardi : nous empruntons les versants jurassiens pour arriver à Poligny, la capitale du Comté. Puis, nous traversons les vignobles du vin d'Arbois et nous arrivons à Salins les Bains pour déjeuner. Heureusement nous descendons dans les galeries souterraines des anciennes Salines Royales où il fait frais ce qui nous change de la canicule extérieure. La visite débute dans une monumentale galerie datant du XIIIème siècle, elle relie 2 puits et abrite un système de pompage, toujours en fonctionnement qui puise l'eau salée à près de 250 m de profondeur. Il fallait chauffer cette saumure sur d'immenses plaques appelées poêles pour faire évaporer l'eau et recueillir le sel avec des "racles". Cette mine n'est plus exploitée, car c'était un travail de forçat et aussi car les moyens de communication ont évolué, ce qui permet d'utiliser le sel de mer. Ces salines qui avaient fait la richesse et la notoriété de la région sont inscrites au patrimoine de l'UNESCO. Puis nous allons vers la fraîche vallée du Lison pour admirer sa source qui sort des rochers par une impressionnante cascade.
Le soir une bomme fondue au Comté nous attend.


Mercredi : Nous suivons les rives du Lac Léman et arrivons à Vevey, puis dans les Alpes Vaudoises pour finir à Gruyère. Nous visitons une fromagerie située dans la ville basse, nous faisons des achats de ce célèbre fromage qui, paradoxalement n'a pas de trous !!
La vraie ville est bâtie sur un promontoire qui domine la vallée, le château fort en est le point culminant. Gruyère est une cité médiévale avec ses rues pavées et ses vieilles maisons fleuries.
Nous rentrons par le col des Mosses entre la vallée de la Sarine et les Alpes Bernoises avec des paysages exceptionnels. Nous n'avons pas pu visiter Montreux et ses fastueuses villas, car le bus n'a pas pu se garer. Nous suivons la route qui longe le lac et nous sommes éberlués par les plants de vigne en espalier, pas un mètre carré de perdu !!

Notre guide nous réserve une surprise, c'est l'arrêt à Lausanne devant le musée des Jeux Olympiques. Les jardins sont en pente, mais des escalators nous aident. Il y a d'abord la photo souvenir devant la vasque où brûle la flamme olympique puis en descendant, les chemins sont bordés de statues représentant des sportifs offertes par les différents pays ayant participé aux jeux.

Jeudi : nous prenons la route de Bonnevaux et nous traversons Mouthes qui d'après les météorologues est le village le plus froid de France. A Bonneveaux, le guide scinde le groupe en deux. Un groupe va visiter une forêt qui est en fait une immense tourbière avec une piste en planches d'un kilomètre la traverse. Notre guide nous explique comment la sphaigne qui est une mousse vivant dans les lieux humides et acides se transforme en tourbe. Utilisée autrefois pour se chauffer, elle n'est plis utilisée qu'en jardinerie.

Le deuxième groupe a visité pendant ce temps une ferme musée du XVIIème, gardée intacte, "La Pastorale". Sous le même toit vivaient les vaches avec le grenier à foin et à côté les pièces de vie des propriétaires. Tout était conçu pour que la chaleur ne se perde pas. Dans les pièces blanchies à la chaux, on peut voir les ustensiles, les outils….C'est un homme passionné qui a racheté cet ensemble afin de conserver la mémoire de la vie d'autrefois.


L'après midi, nous passons par les Gorges du Doubs et arrivons à Villiers le Lac. Nous profitons d'une ballade commentée sur les bassins du Doubs qui forment un lac riverain de la Suisse. Ce lac est bordé de falaises et nous accostons pour gravir une pente raide qui nous conduit au belvédère du Saut du Doub, il s'agit d'une résurgence qui sort en une immense cascade. En rentrant vers Villiers, nous voyons de drôles de cheminées appartenant aux célèbres fumoirs de charcuterie. Nous faisons un détour pour aller visiter. Nous découvrons ainsi un "tuyé" nom donné à ces fumoirs. Dans une pièce dont le plafond est une cheminée sont suspendues toutes sortes de charcuteries dont la plus renommée est la saucisse de Morteau. Le fumage dure plusieurs jours et est assuré par de la sciure de sapin qui se consume lentement en donnant un goût particulier. Une dégustation et une vente et on repart !!!


C'est alors que notre guide nous explique que nous venons de faire une intrusion dans la République du Seaugeais. Le Seaugeais a été d'abord une immense paroisse autour d'une abbaye. Ce n'est qu'en 1947 à la suite d'une boutade que Seaugeais devient une république libre. Le propriétaire de l'hôtel de l'Abbaye demanda au Préfet qui était venu se restaurer s'il avait un laisser passer pour entrer en Pays de Seaugeais, et le Préfet de répondre "cela ressemble à une république". Ainsi fût créée la République du Seaugeais. Cette républiqueest actuellement intégrée dans un circuit touristique, elle attend le car sélectionné qui doit arriver
L'odeur des grillades agit comme un aimant et tout le monde se retrouve autour de la table et comme les saucisses sont un peu salées, il faut se désaltérer !!
A la nuit, le feu est allumé, et les pompiers de service sont là, il faut tout prévoir !!
Une animation qui a toujours autant de succès.



ÉCHOS D'ÉCOLE

Aude BAUDOIN accueillera cette année 18 élèves de CM 1 et CM 2 du RPI La Sauvetat Savignac.
Les RPI, ne sont pas une idée nouvelle, en 1833, la loi indiquait que les communes pouvaient se réunir pour créer une école communale. Il s'agissait à cette époque de réunir Lacaussade, St Aubin et Savignac. Chacun ayant sa fierté, chacun a ouvert une école.

Fête votive : méchoui, 27 août

Traditionnellement, samedi soir, a eu lieu le méchoui. 162 convives, les savignacais et leurs amis se sont régalés avec les grillades. Comme d'habitude une bonne réussite.

Le comité des Fêtes et L'AKCS : véhicules anciens, 28 août

Le dimanche s’est déroulé le rassemblement de véhicules anciens. A partir de 10 h, les premières voitures sont arrivées sur le parking de la salle des fêtes. Ainsi à midi, on pouvait en compter plus d’une quarantaine de toutes les marques. Dans le même temps, les visiteurs ne se sont pas fait attendre, et c’est nombreux qu’ils sont venus admirer les vielles mécaniques.
Étaient exposées, de nombreuses Citroën : de la C4, Rosalie, Traction, DS, SM, Dyane, 2CV, et plus récentes, la GS et BX sport, côtoyaient les Peugeot 403, 402, 202, 304 cabriolet. Les marques étrangères étaient aussi bien représentées : de magnifiques cabriolets et berlines, Morgan, Alfa Roméo, Jaguar, Fiat, Ford,…
Les visiteurs ont été conquis par les balades de 6 km sur la commune. La météo étant de la partie, les cabriolets ont eu un vif succès. A midi, les organisateurs ont servi une centaine de repas aux propriétaires de voitures ainsi qu’aux visiteurs venus passer la journée.
C'était une innovation !!


Et l'année prochaine ?

L'A.K.C.S.

La saison 2010 est terminée, voici les résultats de nos pilotes au trophée d’Aquitaine :
- Kart 500 :
17° Meauxsoone Christian
23° Chaudagne Lionel
30° Glanes Alain
31° Glanes Nicolas
35° Lambert Xavier
45° Bellanger Frédéric

- Kart Open :
27° Fauret Dominique
65° Bellanger Sébastien

- Tourisme 1400 : 1° Belair Jérôme

- Tourisme 1700 :
15° Faccio Michel
33° Taillefer Cyril

- Tourisme 2000 : 13° Belair Stéphane.

Un seul pilote s’est qualifié pour le championnat national : Belair Jérôme, et s’est classé 7°.

Pour clôturer la saison, le club offre à tous ses adhérents une journée kart piste le 24 septembre à Montauban.

N’oubliez pas notre soirée moules-frites le samedi 1er octobre.
Cette année nous avons décidé d’abandonner les belotes, qui au fil du temps attiraient de moins en moins de monde. Nous avons choisi d’organiser une soirée paëlla en février ou mars. La date n’est pas encore arrêtée.

Gym volontaire

Les séances reprennent le 21 septembre à 20 h 30 à la Grange

Moto-cross, 9 et 10 juillet à Saval

Sur une piste bosselée longue de 1 km 800, 300 pilotes (garçons et filles) se sont affrontés sur 2 jours.
Toute une organisation : tracé de la piste, protection, parking, restauration, service médical….
Le samedi le temps était au beau fixe, la piste était sèche, il a fallu monter l"arrosage. La pluie du dimanche matin a légèrement contrarié la manifestation, puis, le soleil est revenu.
Saval a retrouvé son calme.

Les Éclaireurs et Éclaireuses d'Aquitaine en camp à Carmié Bas

Cette organisation laïque de Mérignac et Blanquefort (Gironde) accueille des jeunes un dimanche sur deux toute l'année et organise un camp pendant les vacances.
Deux groupes d'enfants se sont succédés les petits de 7 à 10 ans du 4 au 17 août, les grands de 11 à 14 ans du 18 au 24 août.
Le but de ce camp étant d'apprendre à vivre ensemble puis, de devenir autonome.
Le camp nécessite un sérieux encadrement : la directrice du camp, Emilie Alvarez est animatrice socioculturelle, elle est secondée par 3 moniteurs titulaires du B.A.F.A plus une équipe d'intendance.

Le camp comporte plusieurs pôles : la tente cuisine, la tente stockage, les tentes couchage par groupe de 6 enfants dans le bois, la tente pédagogique, tente douches, la tente matériel….
Les plus grands ont fait des randonnées en autonomie, à pied, sac à dos avec le pique nique. Ils ont visité les environs, Lacapelle, La Sauvetat, Monflanquin, Gavaudun, Savignac, et aussi les fermes de Crozefon, Monredon….
A leur départ tout a été remis en état, leur devise étant :
"Terre à nu à l'arrivée, terre à nu au départ"
La première photo représente le couchage et la table repas, la deuxième le pôle pédagogique

Famille Lacombe, Comte bas

Alexandre est originaire du villeneuvois. Originaire du milieu rural, il a fait des études d'agriculture au Lycée Etienne Restat de Ste Livrade. Il s'est reconverti dans la maçonnerie et travaille dans l'Entreprise EUROVIA en tant que maçon. Dans son travail, il participe à l'implantation de lotissements, terrassements, bordures de trottoirs….Dans son métier, il effectue des stages pour acquérir des compétences supplémentaires.
Il est le président de l'association "Paint-Ball" de la Sauvetat sur Lède

Karine est née à Bordeaux, mais elle est arrivée à 4 ans à Lacépède. Après l'école primaire elle est rentrée au C.E.S. de Penne d'Agenais puis au Lycée d'Aiguillon pour obtenir le diplôme de Secrétaire médicale. Après un passage dans un cabinet médical à Villeneuve, Karine travaille actuellement à l'hôpital St Esprit à Foulayronnes.

Ayant eu un coup de cœur pour l'emplacement à la campagne et au calme, ils achètent la maison en début de construction. Le métier de maçon a été fort utile car, c'est Alexandre qui a réalisé la totalité des travaux. Ils sont installés depuis 2010.


Ils ont 3 enfants : Clémént, 7 ans ½ qui va à l'école à St Sylveste, Clara 2 ans ½ et Gabriel 4 mois, les 2 petits sont chez une "nounou" à St Sylvestre (tout cela pour des raisons de commodité).

Les bonnes recettes de cuisine locale

La quasi-totalité de nos lecteurs sait que la ferme de Crozefond à Saint-Aubin est une référence en matière de productions biologiques. Il s'agit en effet d'une entreprise familiale créée dans les années 1960 par M. Gilbert POZZER et son frère Yves. Depuis plus de 50 ans, la ferme a beaucoup évolué.

Aujourd'hui, aux côtés des parents, Gilbert et Claudette, le GAEC réunit les fils Luc, Nicolas, Vincent et leurs épouses. Chacun dans sa spécialité, ils produisent, commercialisent, transforment dans leurs laboratoires tous les produits biologiques mis à la vente. De l'élevage des porcins et leur transformation en charcuterie ; des bovins pour la viande et la production de lait, aux fromages ; des céréales pour le pain et les pâtisseries ; les plats sucrés et salés, les pâtes et les glaces, la production d'huile d'onagre, de bourrache, etc...

Ils poursuivent le même objectif : conserver l'authenticité du goût et les qualités naturelles de leurs produits qu'ils vendent à la ferme (le mardi après-midi), aux marchés biologiques de Villeneuve-sur-Lot et Bordeaux (les mercredi et jeudi matins).

Vincent, le plus jeune des fils, très marqué par la qualité des relations étroites entretenues avec sa grand-mère Isola, a fait de la cuisine son métier. Il habite notre commune avec son épouse Régine et leurs enfants Marie et Benjamin. Une des bonnes raisons qui fait que nous ne pouvions passer sous silence la réalisation de son ouvrage intitulé ''Cuisine à la ferme aujourd'hui dans le Lot-et-Garonne'' et qui vient de paraître.

Il s'agit d'un livre de 95 pages regroupant ses meilleures recettes réalisées en grande partie avec les productions de la ferme et d'autres produits locaux. Il comporte de nombreuses photos de grande qualité et des explications très précises sur la façon de travailler au sein de la ferme de Crosefond.

Au-delà de la qualité de cette parution, il s'agit là d'une excellente idée de cadeaux pour les fêtes de fin d'année. Cet ouvrage dont le coût, environ 15 €, est disponible chez Régine et Vincent, à la ferme de Crozefond, chez les marchands de journaux, dans les meilleures librairies et l'espace culturel Leclerc de Villeneuve-sur-Lot. (S. P)

Parôles de gourmands

"la découverte d'un mets nouveau fait plus pour le genre humain que la découverte d'une étoile" Brillat-Savarin

"Si vous n'êtes pas capables d'un peu de sorcellerie, ce n'est pas la peine de vous mêler de cuisine" Colette

"Je me suis mis au régime, j'ai perdu deux semaines" J. Lewis

"Le tiers de ce que nous mangeons suffirait à nous faire vivre ; les deux autres tiers servent à faire vivre les médecins" Docteur Paul

"Cuisiner suppose une tête légère, un esprit généreux et un cœur large" P. Gauguin

"Un repas est insipide s'il n'est assaisonné d'un brin de folie" D. Erasme

Velouté de potimarron à la truffe noire

Préparation : 15 min. Cuisson : 1 h 15

Pour 4 personnes : 1 potimarron de 2 kg, 75 cl de crème fraîche, 150 g de lardons très fins, 40 g de truffe noire, 1 belle branche de persil plat

1° coupez le chapeau, videz le potimarron en ayant soin de ne pas le percer et en laissant environ 5 cm de chair tout autour. Préchauffez le four à 150° C (environ th 3)

2° dorez les lardons à la poêle sans gras, mettez-les dans le potimarron avec la crème et la truffe en très fines rondelles, sel, poivre. Posez le chapeau, enfournez 1 h 15

3° glissez la branche de persil sous le chapeau, laissez sortir les feuilles à l'extérieur.
Présentez fermé et chaud. Pour servir, prélevez la chair des parois en copeaux à la louche, servez-la avec de la crème truffée.

L’AMBROISIE

Cette plante dangereuse vient de faire son apparition dans la Commune (Note rédigée avec l’appui technique de la Chambre d’Agriculture du Lot et Garonne)

L’AMBROISIE ou feuille d’Armoise (Ambroisia artemisiifolia L.) est de la même famille que le tournesol. C’est une espèce annuelle estivale au port dressé, ramifié, pouvant mesurer à l’âge adulte de 30 à 120 cm. Sa tige est souvent rougeâtre. striée, très ramifiée, robuste et plus ou moins poilue. Ses feuilles sont profondément découpées jusqu’à la nervure centrale, d’un vert vif sur les deux faces, devenant bleuté à la face inférieure et à nervure blanchâtre. Tiges et feuilles sont recouvertes d’un duvet un peu comme les tomates.

Les graines tombent au sol à l’automne et entrent en dormance jusqu’au printemps suivant. L’ambroisie germe au printemps, se développe lentement jusqu’en juillet puis forme rapidement ses inflorescences qui viennent à maturité vers la mi-août. C’est à partir de cette période et jusqu’en octobre que le pollen est émis et transporté par le vent.

Risques pour la santé publique : Le pollen des fleurs est allergisant, beaucoup plus que celui des graminées, ce qui pose des problèmes de santé publique. Un seul pied d’ambroisie peut libérer plus d’un milliard de grains de pollen dont la dispersion par le vent peut se faire dans un rayon de plus de 100 km. Ces problèmes d’allergie surviennent à la floraison en août et septembre. Les personnes sensibles peuvent présenter des manifestations telles que les rhinites, conjonctivites, asthmes….Dans une région comme Rhône-Alpes où l’ambroisie est très présente, 6 à 12 % de la population est affectée par cette plante très allergisante.

Lutte en zone agricole:
• Lutte préventive : L’ambroisie est rarement un problème en culture d’hiver car elle souffre de la concurrence des plantes cultivées présentes. L’alternance des cultures d’hiver et d’été est un bon moyen de lutte.
En interculture, les opérations de déchaumage, de faux-semis par des moyens mécaniques ainsi que la lutte chimique sont à mettre en oeuvre pour diminuer sa présence et donc le stock semencier.
La surveillance et l’entretien des jachères , des friches, des bords de route et des terrains d’aménagements lors de travaux sont très importants pour endiguer le développement de cette plante

• Lutte en culture de printemps : On retrouve l’ambroisie en concurrence avec des cultures comme le tournesol, le sorgho et le maïs. Les agriculteurs disposent à la fois de moyens chimiques de pré et de post-levée pour gérer cette plante. De même, l’association avec des moyens mécaniques comme le binage est à prescrire. Une attention particulière au moment de la récolte est préconisée notamment en ce qui concerne le nettoyage plus fréquent des machines afin de véhiculer le moins possible de graines d’une parcelle à l’autre.

En conclusion, le lutte contre cette plante est devenue I’affaire de tous.

Informations communales

Etat civil :
Naissance : Lorenzo COUTURE est né le 2 septembre â Perpignan Il est le fils de Florent Couture et de Anaïs André, nos locataires au gîte communal
Mariage : le 9 juillet. nous avons célébré le mariage de Frédéric CORIOU et de Nathalie COQ qui habitent, avec Lizéa à ‘Couderc’. M Coriou est spécialisé dans la construction de maisons à ossature bois (ACF Bois Habitat)
Bienvenue à Lorenzo et sincères félicitations à tous

Aménagement de la traversée du Bourg:La parcelle que ici commune vient d’acquérir près du bâtiment mairie/école/cantine scolaire/salle de réunion est d’une superficie de 2 080 m2. Elle o été aménagée en parking recouvert de calcaire qui doit être longuement tassé avant de recevoir le goudronnage.

Route départementale 253 : Après avoir rencontré les services de I ’Etat et du Département, propriétaire de la route, un aménagement expérimental destiné à réduire la vitesse de circulation est mis en place.
Avant de prendre une décision définitive sur l’opportunité de ces travaux, il nous faut recevoir l’avis des Bâtiments de France et le vôtre. Merci donc de bien vouloir nous faire part de vos observations d’ici la fin octobre

Personnel communal : Depuis le 01 septembre. bienvenue â M Christian Zanatta, habitant Saint Sylvestre. 5on contrat de travail est d’une durée de 6 mois

Paroisse Saint Thérèse de l’Enfant Jésus des Bastides: L'Abbé Gérard Cousin étant affecté â Casteljaloux, c’est l’Abbé Patrick Chassaigne qui le remplace. En provenance de St Sylvestre où il officiait depuis 2001, nous lui souhaitons également la bienvenue. Site de la paroisse : http://saintetherese-47.legtux.org

Commémoration du 11 novembre:Notre nouvel abbé Patrick CHASSAIGNE o donné son accord pour la célébration d’une messe à Savignac sur Leyze le vendredi 11 novembre 2011.
Nous vous proposons le programme suivant :
• â 10h 30, rassemblement devant le monument aux morts,
• â 11h, messe en l’église Saint Jean-Baptiste, suivit de la bénédiction des tombes,
• vers 12h 15, à la salle des fêtes pot dc l’amitié offert par la municipalité.

Circuit de Moto-Cross: Les services de l’Etat viennent de nous adresser l’arrêté d’homologation du circuit de moto-cross situé sur la propriété de M. et Mme JM Lucas à Saval. Ce document est consultable sur la vitrine extérieure de la mairie. Les passionnés pourront ainsi vivre leur passion dans les conditions fixées par l’arrêté,
Pour tous renseignements tél : 06.42.82.60.65 ou 06.70.91.46.72

dimanche 9 octobre 2011

Histoire de rire

"On appelle voiture d'occasion une voiture dont toutes les pièces font du bruit sauf le klaxon"


"Les hommes mettent dans leur voiture autant d'amour propre que d'essence" P. Daninos

Mots d'enfant

Pourquoi le père Noël gare son traîneau sur le toit, alors qu'il y a de la place libre au parking ?