samedi 14 avril 2018

















A Savignac, les écureuils et les chevreuils viennent     près des maisons !!!



Avril 2018 : N° 91

Echos d'école : Journée Basket le 8 février


De 9 h à 10 h on a fait les équipes et créé leurs noms : Chicago, Warrior, The blue dragons et les Pikachus
De 10 h à 10 h 30, on a fait des entrainements et séparé la cour en deux
De 10 h 45 à 12 h : repas pique-nique
De 13 h 30 à 14 h 45 on a fait des tournois dans la cour avec les 2 nouveaux panneaux sur pied.


Ensuite a eu lieu la distribution des diplômes aux vainqueurs et aux participants :

Ballon d’or : Chicago  Ballon d’argent ; Warrior  Ballon de bronze : The blue dragons  Ballon de plastique : les Pikachus.

C’était bien car on a appris un nouveau sport et découvert des performances cachées.

Angélina, Loan, Yassir, William, Alaric

Le rallye lecture des CM 2

Le rallye lecture consiste à lire un maximum de livres sur une période déterminée et répondre pour chacun à un questionnaire.
Les livres appartenaient à la bibliothèque de Monflanquin et à la bibliothèque de l’école. Nous avions une semaine pour les lire à l’école ou à la maison. Il y avait 14 livres.

Après avoir lu un livre, il fallait répondre à des questions pour vérifier si nous avions bien lu et compris les histoires.

Janyce, Inès, Arnaud, Keis


Prix du plus de livres lus : Keis : 14 livres, Matéo et Janyce : 13 livres, 8 élèves sur 13 en ont lu 5 ou plus.
Prix du plus de réussites au questionnaire : Janyce : 159 points.
Prix du plus de points sur un livre : Yassir, Romain, Janyce avec 20 points

Les Ainés Ruraux, Assemblée générale : 5 janvier 2018


Une cinquantaine de personnes a assisté à cette réunion sur environ 80 adhérents. Le président, Oswald Aureille a d’abord souhaité une bonne année et surtout une bonne santé à tous. Puis il a rappelé les activités du club : réunion le mardi à 14 h avec des jeux de société, une journée marche, une ou deux sorties d’un jour, le loto et le repas annuel d’octobre.

La trésorière Yvonne Faux, nous a présenté les comptes pour 2017, les finances sont saines.

Le club a déploré cette année le décès de 3 de ses membres : Angèle Cavaillé, Franck Cassagne et Marie Couderc.

Christian Laborde, délégué cantonal, a signalé que la meilleure publicité pour un club c’est l‘ambiance qui y règne. Il faut le croire car le club de Savignac ratisse large.

Comité des Fêtes Soirée carcasses : samedi 3 février 2018


Une soirée qui s’inscrit dans le calendrier du Comité des Fêtes. Une centaine de personnes est venue déguster les carcasses.

Si on en juge d’après la photo, il ne faut pas avoir peur de manger avec les doigts et il faut aussi de bonnes dents. Mais c’est bon !!!

La soirée s’est terminée avec la belote et des jeux de société

Dates à retenir


Ø  Repas de la chasse : dimanche 13 avril à 12 h

Ø  Société de chasse : « Le marché du fait main », dimanche 13 mai

Ø  Don du sang : 28 mai, salle des fêtes de Monflanquin de 9 h à 13 h

Le tablier


 « Je viens d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître »


Les blouses et les tabliers datent de la nuit des temps Ils ont toujours eu un rôle protecteur des autres vêtements.

Le tablier de devant est le plus ancien. D’abord confectionné dans une toile de chanvre ou de lin, il était attaché à la taille comme le montre le tableau de Jean François Millet « Les glaneuses » 1853

Le tablier avec la bavette et les deux poches est plus récent

Ces tabliers étaient souvent confectionnés à la maison

A quoi servaient ces tabliers ? Un peu à tout : porter du grain, des légumes, des fruits, des œufs, mais aussi a essuyer les larmes, nettoyer une frimousse, prendre un plat chaud…..
Ce tablier existe encore, il est devenu le tablier de cuisine avec parfois surtout chez les hommes une inscription humoristique.

Le tablier ou blouse. On parle du tablier à la campagne et de la blouse de l’infirmière. Ces tabliers datent de l’ère industrielle. D’abord en coton, ils sont devenus en nylon ou tergal. A la campagne ce tablier était toujours protégé par le tablier de devant. Ce tablier avait essentiellement le rôle de protéger les autres vêtements plus délicats à laver. Les personnes âgées, toujours en deuil portaient un tablier noir et un tablier de devant noir en satinette pour aller à la messe.

Le tablier à l’école est devenu courant au début du 20ème siècle. Souvent confectionné par la couturière qui venait à la maison (les machines à coudre existaient déjà). 

La photo de l’école des Garçons de Savignac montre le type de tabliers qu’ils portaient pendant la guerre de 14-18. Cependant, les cols blancs ne devaient pas exister tous les jours, les élèves étant prévenus du jour de la photo. Chose anormale, ces élèves ont comme instituteur Mme Garrigue, sans blouse la femme de l’instituteur mobilisé.

Si on compare avec la photo de l’école en 1980-1981, on peut remarquer que le tablier est en voie de disparition. Il sera remplacé par le jean et le tee shirt.


Les blouses.  Chaque corps de métier avait sa blouse. Dans le corps médical, la blouse blanche deviendra prépondérante au fur et à mesure que les religieuses disparaitront des hôpitaux de 1920 à 1970. Actuellement dans le corps médical hospitalier la couleur des blouses est en relation avec leur fonction ce qui permet aux malades de les identifier.

Le dernier médecin ayant porté une blouse à son cabinet est le docteur Rouquié à Monflanquin.

On pourrait parler encore du tablier du boucher dont l’originalité était de n’avoir qu’une seule bretelle de la blouse de l’épicier, du maquignon……

Histoire locale : enquête agricole du printemps 1944 Etat Français


Nombre d’exploitations agricoles : 75 dont 1 fermier et 6 métayers.
Nombre d’exploitations non électrifiées : 23
Composition des exploitations : terres labourables : 572 ha, prairies : 241 ha, vignes : 85 ha

Nature des cultures :
Blé : 221 ha, avoine : 14 ha, maïs grain : 10 ha
Plantes sarclées : pommes de terre : 8 ha, topinambour : 2,5 ha, betteraves fourragères : 3 ha
Oléagineux : soja : 6 ha, tournesol, 5 ha.
Légumes secs : haricots secs : 2,5 ha

Animaux :
8 chevaux, 5 taureaux, 25 bœufs de travail, 42 vaches laitières, 251 vaches de travail, 124 veaux.
54 brebis, 5 moutons de plus d’un an, 2 agneaux.
6 truies de reproduction, 38 jeunes porcins

La campagne de Savignac a bien changé !!!

Le Français ? Une Langue animale.

La preuve :

Que vous soyez fier comme un Coq,
Fort comme un Bœuf,
Têtu comme un Âne,
Malin comme un Singe
Ou simplement un chaud Lapin,
Vous êtes tous, un jour ou l’autre,
Devenus Chèvre pour une Caille aux yeux de Biche.
Vous arrivez à votre premier rendez-vous
Fier comme un Paon et frais comme un Gardon
Et là, … pas un Chat!
Vous faites le pied de Grue,
Vous demandant si cette Bécasse vous a réellement posé un Lapin.
Il y a Anguille sous roche
Et pourtant le Bouc émissaire qui vous a obtenu ce rancard,
La tête de Linotte avec qui vous êtes copain comme Cochon,
Vous l’a certifié : cette Poule a du Chien, une vraie Panthère!
C’est sûr, vous serez un Crapaud mort d’amour.
Mais tout de même, elle vous traite comme un Chien.
Vous êtes prêt à gueuler comme un Putois
Quand finalement la fine Mouche arrive.
Bon, vous vous dites que dix minutes de retard,
Il n’y a pas de quoi casser trois pattes à un Canard.
Sauf que la fameuse Souris,
Malgré son cou de Cygne et sa crinière de Lion
Est en fait aussi plate qu’une Limande,
Myope comme une Taupe,
Elle souffle comme un Phoque et rit comme une Baleine.
Une vraie peau de Vache, quoi !
Et vous, vous êtes fait comme un Rat.
Vous roulez des yeux de Merlan frit,
Vous êtes rouge comme une Écrevisse,
Mais vous restez muet comme une Carpe.
Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez,
Mais vous sautez du Coq à l’Âne
Et finissez par noyer le Poisson.
Vous avez le Cafard,
L’envie vous prend de pleurer comme un Veau
(Ou de verser des larmes de Crocodile, c’est selon).
Vous finissez par prendre le Taureau par les cornes
Et vous inventer une fièvre de Cheval
Qui vous permet de filer comme un Lièvre.
Ce n’est pas que vous êtes une Poule mouillée,
Vous ne voulez pas être le Dindon de la farce.
Vous avez beau être doux comme un Agneau
Sous vos airs d’Ours mal léché,
Il ne faut pas vous prendre pour un Pigeon
Car vous pourriez devenir le Loup dans la bergerie.
Et puis, ça aurait servi à quoi de se regarder comme des Chiens de faïence.
Après tout, revenons à nos Moutons :
Vous avez maintenant une faim de Loup,
L’envie de dormir comme un Loir
Et surtout vous avez d’autres Chats à fouetter.

Jean d’Ormesson

Et les ados?


Il y a des piles qui s’usent parce que l’on s’en sert. Il en est de même pour quelques mots, si usés qu’ils rétrécissent. Nos ados ont trop ouvert le frigo pendant les pubs de la télé au lieu de travailler sur leurs ordis au retour des virées à moto en sortant des restos, des discos, voire des cinés porno au grand dam de leurs profs qui préfèreraient les voir sur leurs dicos.

Page agricole

Nous avons été contactés par la Fédération Française des Producteurs d’Insectes Comestibles sur la possibilité d’installer une ferme d ‘élevage de grillons domestiques et éventuellement de criquets.

Quels sont les avantages pour les savignacais ?

Normalement les grillons reproducteurs sont achetés chez des fournisseurs spécialisés, mais il serait possible que des personnes habiles deviennent des ramasseurs de grillons à l’automne au moment où ils viennent dans les maisons. Il suffit de se fabriquer une petite épuisette.
Chaque ramasseur serait rétribué, pas à l’heure mais au nombre de grillons.

Au moment où va se poser le problème des poubelles, les habitants pourraient déposer dans cette ferme les restes de fruits, de légumes, salades…servant de nourriture aux grillons, ce qui réduirait d’autant les dépôts dans les containers.
Certaines mains agiles pourraient être embauchées au moment du conditionnement pour retirer les antennes des grillons qui pourraient chatouiller la gorge.

En échange, si cette ferme s’installe, elle nous demande, une fois les grillons conditionnés en sachets qu’ils fassent parti des apéritifs servis dans la commune et qu’ils entrent dans les repas de la cantine scolaire.

Pour le moment, il s’agit d’un projet, de plus amples informations vous seront données ultérieurement.

Un savignacais est reparti au Togo

C’est avec beaucoup de plaisir que je suis reparti au Togo du 5 au 29 janvier.


A l’aéroport, nous prenons la voiture pour nous installer dans un appartement à Lomé (capitale du Togo). Le point d’orgue de mon séjour a été la visite du parc Sarakawa.

Nous partons de Lomé pour nous rendre dans la région de Kara à 500 km au nord. Après une pose casse croute à Atakame, nous remontons dans le car et près 7 h 20 de voyage, nous arrivons à Kara.

Mauvais jour,  car c’était la commémoration d’un accident aérien survenu en 1974 dans lequel avaient péris plusieurs personnalités politiques et des militaires.

Heureusement que les zems (taxis moto) nous ont conduit à notre hôtel car il n’est pas facile de se loger le jour de cette date anniversaire.


Le 24 janvier, Jeff, notre taxi man nous conduit au Parc de Sarakawa situé à 45 km au nord de Kara. Nous visitons le parc en 4x4 avec un guide Rouffio. 

Le parc s’étend sur 450 ha et nous observons les antilopes, les watabous, les cobs.

Le guide nous fait remarquer deux yeux à la surface de l’eau. Attention de ne pas se faire avaler par les crocodiles.Il y a deux sortes de buffles, le buffle brun est le buffle de la forêt, le buffle noir est le buffle de la savane.



Dans ce parc, les deux espèces cohabitent et ce sont les aigrettes qui sont chargées de leur enlever les insectes. Les zèbres posent pour la photo, les autruches sont dans des enclos et les tortues ont un endroit privilégié ombragé (50 kg pour la plus petite). 
Le guide nous recommande de ne pas caresser les singes afin d’éviter les morsures. 
La visite se termine par une dégustation de toucoutou, vin de maïs fermenté. 




Ensuite avec Jeff et son taxi nous partons au parc des éléphants de 15.000 ha.

Ces animaux de 6 tonnes sont très curieux et gourmands, nous pouvons facilement les nourrir
Le Togo est un pays riche accueillant notamment par sa simplicité et la richesse des échanges culturels.









Laurent Barre

Fontainebleau aux fraises


Pour 6 personnes. Préparation 20 min

Ingrédients : 250 g de fraises, 1 citron vert. 350 g de fromage blanc de brebis, 100 g de crème fraîche épaisse, 25 cl de crème fleurette, 2 c à soupe de sirop de rose, 30 g de sucre glace, 50 g de sucre roux
1 poche munie d’une douille crantée

1 Rincez rapidement les fraises, équeutez-les et coupez-les en deux. Râpez le zeste du citron avant de le presser. Ajoutez le jus et le zeste de citron ainsi que le sirop de rose sur les fraises, mélangez et réservez au frais.

2 Dans un saladier, mélangez le fromage blanc, la crème épaisse et le sucre roux.

3 Montez la crème fleurette en chantilly avec le sucre glace, puis incorporez-la dans le fromage blanc.

4 Placez la préparation dans la poche à douille crantée et répartissez-en une couche dans les verres. Ajoutez une couche de fraises, recouvrez de fontainebleau et terminez par le reste de fraises.

Servez sans attendre.