samedi 16 juillet 2016

LE LEYZOU : Juillet 2016, N° 84




 

Les couleurs du printemps, Le merisier, le chêne de Lasplanes (J.Delcaillou). , le colza  

Les présidents de la CUMA de Fonclare

Hubert Labay 1966-1990



Christian Faure,1990-2016



Joël Brazzorotto, 2016……

RENCONTRE BASKET USEP


Jeudi 10 juin, les élèves de Savignac-sur-Leyze se sont rendus à Monségur pour une rencontre de basket dans le cadre de l'USEP.

 Etaient aussi présentes les écoles de Lacapelle-Biron, Saint Aubin, Saint Pastour, Lacaussade et Monségur.

 Au programme de la journée, des matchs par poules de 4 équipes ainsi que des jeux de ballons comme l'horloge(passes), le Lucky Luke(tirs), la balle assise ou encore le parcours (dribble).

 Sous un soleil de plomb, les élèves ont couru, joué et se sont bien amusés. Le pique-nique dans l'herbe, à midi, a permis de reprendre des forces.

 Certains ont gagné tous les matchs, d'autres en ont perdu mais l'essentiel était d'avoir passé une bonne journée en cette fin d'année scolaire.


Florence

Danse


Cette année, les écoliers de Savignac ont participé à un projet départemental intitulé « Danse en liance » proposé par l'OCCE (Office Central de la Coopération à l'École).

 Une danseuse, Sylvie Balestra, de la compagnie Sylex, est venue en début d'année pour guider les élèves dans leurs créations de mouvements.

Nous avons travaillé des jeux de danse, des mouvements et nous avons créé  une petite chorégraphie autour des rondes et danses occitanes.

Enfin, le lundi 30 mai, nous sommes allés à la salle des fêtes de Monflanquin rejoindre les classes de Monbahus et Saint Vite pour un bal. Chaque classe a présenté sa danse ou son jeu de danse : « Le pantin » pour Monbahus, « Les statues » pour Saint Vite et les rondes occitanes pour Savignac.Le but était de partager tous ensemble un moment de danse et d'apprendre aux autres classes ses propres chorégraphies.

En bonus, à la fin, nous avons joué deux morceaux de flûte : « Montmartre » et « Tomahawk ».

Le Comité des Fêtes : pêche à la truite dimanche 8 mai


Malgré un grand vent, 78 pêcheurs sont venus lancer leur ligne au lac de Carmié bas. Dans l’eau, les truites ont été voraces, car au dire de tout le monde la pêche a été bonne.

C’est autour de la buvette que les pêcheurs et visiteurs ont pu se restaurer en cours de matinée.

 
Vers 13 heures, arrêt des hostilités et tout le monde est descendu au restaurant du hangar FAURE. Il y avait 90 de personnes à table, plus qu’au bout des lignes. C’est normal, l’odeur des grillades s’est répandue dans toute la campagne !!! L’après-midi, le vent a découragé les pêcheurs.

le Comité des Fêtes : Fête de la Saint Jean le 24 juin


Le temps était clément, il y avait beaucoup de jeunes et une flopée d’enfants. Les grillades ont eu beaucoup de succès comme d’habitude. Mais, voilà que vers 8h30, Thor, dieu de l’orage et des éclairs s’est invité à Bécade. Un intrus dont tout le monde se serait bien passé. Sauve qui peut !!

Tout le monde dans les voitures ou à l’abri des arbres. L’orage étant presque terminé tous les courageux, abrités sous les tentes de Vincent ont pu continuer leurs libations. Malgré tout, le feu a bien flambé !!!

Les Aînés ruraux : Journée gourmande en Périgord blanc, Neuvic : 26 avril 2016

Le caviar de Neuvic. Il pleuvait, seuls les plus courageux sont allés voir les bacs à esturgeons. On leur a bien proposé de rentrer dans un bassin pour ramasser un esturgeon, aucun savignacais n’a eu le courage de se lancer !!! Des jeunes ont bien essayé mais l’esturgeon de 1m 50, gluant, leur a échappé.

Tout le monde s’est retrouvé pour la dégustation de caviar à la fin de la visite

 
Concours de parapluies

 

Déjeuner au Château de Neuvic. Ce château est une Fondation, L’Hospice des orphelines de Périgueux propriétaire des  lieux. Ce château accueille des enfants, des adolescents et des adultes qui éprouvent des difficultés d’insertion.
Un bon feu de cheminée et un bon repas ont redonné le moral à tout le monde.

 

Moulin de la Veyssière. Ce moulin produit de l’huile de noix et de noisettes dont certaines viennent de Cancon.

Les fruits sont écrasés, broyés, la pâte obtenue est chauffée dans une poêle en fonte puis pressée et l’huile s’écoule lentement. Après la dégustation et quelques achats, nous repartons.

  

Biscotterie artisanale de la Chanteracoise. C’est la dernière biscotterie artisanale. Elle fonctionne avec 16 employés. Elle produit une quinzaine de variétés de biscottes, aux fruits, au chocolat, sans sel, sans sucre …… La production des biscottes nécessite deux cuissons, en premier la cuisson du pain (photo) en second, la cuisson des biscottes. Le lendemain, les savignacais ont déjeuné avec les biscottes de la Chanteracoise.


Malgré la pluie de la matinée, une bonne journée très appréciée.

Séjour en Auvergne, 15, 16, 17 juin


Le groupe Savignac, La Sauvetat

 

 


Mercredi : Nous partons à 6h et nous rejoignons La Bourboule où nous déjeunons. La Bourboule est une station thermale où l’on soigne en particulier l’asthme.

Après-midi, nous visitons le musée de la Toinette et la grange de Julien.qui retracent la vie paysanne du 19ème siècle. Puis, nous rejoignons Besse, cité médiévale avec des maisons aux toits de lauzes, bâties en pierre grises de la région. Enfin nous posons nos valises à l’hôtel pour 2 jours.

Jeudi : Nous partons vers le lac Chambon et le parc des volcans d’Auvergne. Nous passons à Besse en Chandesse, cité médiévale  avec des demeures imposantes et des ruelles pavées. Nous longeons le lac Pavin et nous allons vers St Nectaire.

Comme de coutume, nous visitons une fromagerie où sont fabriqués le fromage de Cantal et le St
Nectaire. La meule de Cantal pèse 43kg et nécessite 400l de lait. La diversité des prairies et les grands espaces donnent à ces fromages une saveur particulière. Après avoir dégusté les fromages, nous avons fait des achats. En plus des fromages, il y avait du jambon, des saucissons, des pâtés et de la gentiane, nous avions le choix !!!

Ensuite, nous avons visité les fontaines pétrifiantes de St Nectaire. Des moules sont placés sur des échelles où coulent des eaux à plus de 50° qui déposent une couche calcaire. Ensuite, ces objets sont retravaillés et ces objets d’art sont vendus.

L’après midi, nous partons pour le Puy de Sancy, le plus haut des volcans, 1886m. Nous prenons le téléphérique qui ne nous emmène pas au sommet, il reste encore 880 marches. Quelques courageux sont partis, mais se sont arrêtés car le brouillard arrivait sur le sommet.

Au retour, nous visitons l’église romane d’Orcival qui possède une vierge noire.

Après le repas, la soirée a été animée par un groupe folklorique avec des accordéonistes et des danseurs costumés. Certains se sont initiés à la bourrée !!!

Vendredi : Nous visitons le village de Besse dans le froid et avec du crachin. A 14 h nous reprenons la route pour Savignac. Sur le trajet, nous faisons un arrêt à Collonge la Rouge dont toutes les maisons et les différents bâtiments sont bâtis en grès rouge, classé parmi les plus beaux villages de France.

L’ambiance était bonne et déjà on pense au voyage de 2017.

 

D’après les notes d’Yvette Aureille et d’Yvonne Faux

Dates à retenir

- Don du sang : 11 juillet 2016 et 26 septembre de 9 h à 13 h salle des fêtes Monflanquin

- Comité des Fêtes : Fête votive le samedi 27 aout méchoui

- 11 septembre : course cycliste

Page agricole : 50 ans de la CUMA de Fonclare, 3 avril 2016


En 1965, Etienne Cavaillé, maire de Savignac et agriculteur visionnaire, décide de réunir les agriculteurs de la commune dans le but de mutualiser les achats de matériel afin d’en réduire le coût.

Les étapes de la CUMA

Après plusieurs réunions et de la persévérance la CUMA de Fonclare est créée le 24 février 1966. Les premiers cumistes étaient 18, tous de Savignac.

Les premiers achats furent un tracteur de 60 CV, une charrue, un épandeur à fumier et une grue. Au fil des années, les achats se multiplièrent pour répondre aux besoins de tous, en particulier 2 moissonneuses batteuses en 1970.

En 1979, Hubert Labay met un terrain à la disposition de la CUMA et un hangar est construit à Fonclare. A cette époque la CUMA possède une cinquantaine d’outils.

En 1989, la CUMA acète une moissonneuse batteuse neuve, un tracteur et un round baller.

1990 : en haut, Jean-Pierre Miana, Marcel Barre, Roland Delsuc, Didier Emery, Jacques Vergnes, Georges Grèze

En bas : Oswald Réaust, Etienne Cavaillé, Oswald Aureille, Henri Barre, Yvon Laparra, Denis Berthoumieux, Hubert Labay, Jean François Blanc, Monique Faure, Yvonne Labay, Christian Faure, Valentin Nourrit, Jacques Amblard, Serge Brazzorotto, Denis Lartigue, Eros Brazzorotto, Jeanne Faure, Robert Campagnac, Damien Brazzorotto.

En 1990, les exploitations se développent, la CUMA investit dans un second tracteur, un combiné pour les semis de céréales et un plateau à paille. Le matériel est renouvelé régulièrement afin de bénéficier des avantages que peuvent apporter l’électronique et le GPS.

En 2011, a lieu le bétonnage du hangar ce qui facilite le nettoyage et le rangement.

Aujourd’hui le nombre d’exploitation a diminué, donc le nombre d’adhérents, même si des exploitants des communes voisines sont devenus adhérents.

On  peut dire que notre CUMA se porte bien !!

Que serait le matériel sans les hommes qui sont autour ?

La CUMA est une aventure humaine qui s’est construite autour de valeurs communes : le respect, la solidarité, l’entraide et la convivialité, c’est l’esprit CUMA.

Le premier président est Hubert Labay, Après 24 ans, une nouvelle équipe prend la relève et Christian Faure devient président en 1990. Il gèrera la CUMA pendant 25 ans et en 2016, c’est Joêl Brazzorotto qui devient président.

Nous pouvons remercier les anciens de nous laisser un bel outil de travail. A nous de relever de nouveaux défis pour préserver les CUMA sur le canton qui assurent un outil essentiel au maintien de nos exploitations et qui créent un lien social indispensable.

Si en 50 ans notre CUMA n’a eu que 2 présidents, cela témoigne de la sérénité qui règne dans le groupe, mais aussi de l’engagement que représente cette responsabilité.

Un président se retire : Christian Faure

Hubert Labay n’a eu qu’à regarder de l’autre côté de la route de Fonclare pour trouver son successeur. Ton implication dans les associations de la commune, tes connaissances en mécanique, ta proximité du hangar faisait de toi un président idéal.

Pendant 25 ans tu as veillé sur la CUMA en bon père de famille surveillé l’entretien et les réparations du matériel que personne n’avait cassé, l’appel impatient d’un adhérent pour avoir un outil. Tout cela au détriment de ta famille et de ton exploitation.

Président d’une CUMA, c’est aussi de la gestion et des papiers, tu as veillé à des investissements utiles et raisonnables. Tu as réussi à trouver le juste mais difficile équilibre entre une gestion rigoureuse et le souci de ne pas se laisser dépasser par le progrès.

Mais tu ne me contrediras pas si je dis que tu n’étais pas seul à assumer cette responsabilité. Monique n’était pas très loin pour gérer les factures de la CUMA et accueillir les représentants pas toujours soucieux du dérangement qu’ils causaient.

Je t’ai souvent entendu citer Hubert en exemple et comme lui tu laisses une CUMA que beaucoup pourraient nos envier.

Mais ce n’est qu’une page, ce n’est pas la fin du livre, tes conseils seront toujours utiles et bienvenus.

(Tiré de l’allocution de Joêl Brazzorotto le 3 avril 2016)

2016 : Oswald Aureille, Joël Brazzorotto, Martin Rey, Jean François Blanc, Nadine Aureille, Francis Tardif, Marcel Barre, Monique Faure, Christian Faure. Jean Pierre Miana absent

A la demande du petit-fils d’Angèle Cavaillé, Frédéric Caumières, boulanger à Agen, le GAEC de Gaillard a ensemencé 2 champs en épeautre à Lascalprades, l’un en grand épeautre, l’autre en petit épeautre ou engrain.

Même si ces noms sont connus, ces plantes sont différentes. Le petit épeautre n’a subi aucune manipulation génétique, le grand épeautre comporte des variétés issues de sélections et d’hybridations

Pour reconnaître les épis, le grand épeautre ressemble à du blé, les épis du petit ont des barbes très longues et les grains sont alignés symétriquement.

Le petit épeautre On retrouve des traces de sa culture 9000 ans avant JC dans les civilisations méditerranéennes surtout en Turquie et en Irak. Cette graine consommée abondamment jusqu’à l’époque romaine a été abandonnée au profit des blés froments ayant un rendement plus élevé.

Cependant cette plante a subsisté en Haute Provence sur des pentes arides et sèches (pentes du Ventoux).

Les grains sont reconnaissables car ils ne sont pas fendus comme ceux du blé et la balle reste collée à la graine, on parle de grains vêtus ce qui impose un décorticage avant l’utilisation.

Les rendements sont faibles et le décorticage le fait encore baisser ce qui explique le faible développement de cette culture.

Depuis une trentaine d’années, le petit épeautre retrouve un nouvel essor avec l’agriculture biologique et la mode du retour aux anciennes cultures et aux changements alimentaires.

Cette graine a d’abord été utilisée dans les soupes, actuellement elle se cuisine comme le riz, comme légume, en salade…..La farine a le même usage que celle du blé : pain, pâtes, pâtisseries….

Le grand épeautre. Les grains sont plus durs que ceux du petit épeautre. Il est beaucoup plus cultivé que le petit, en Italie, Belgique, Allemagne, Bassin parisien

La farine sert à la fabrication du pain, des pâtes, des biscuits..
Ces deux céréales, en raison de leur croissance sur des sols sans engrais et leur résistance aux maladies ont trouvé leur place dans l’agriculture biologique.

Truc : se protéger des mouches !!!


C’est simple, écolo et pas cher !!! Couper un citron en deux et planter les clous de girofle. Il faut penser à renouveler le citron au bout de 3 semaines. L’odeur du citron associée à celle des clous de girofle fera fuir les mouches.


 

Reconnaissez-vous ces objets ?



Le paillage végétal


Humour


Un jardinier dit à son patron : je vous assure chef que j’ai accompli mon travail  de tout mon cœur
 
Et bien, mon ami, pour varier un peu, pourquoi ne pas le faire plutôt avec vos mains.

 

Epeautre à la villageoise


Pour 6 personnes. Préparation 30 min, cuisson 45 min, réfrigération 45 min.

Ingrédients : 350 g d’épeautre, 500 g de fèves, 1 bulbe de fenouil, 150 g de radis, 150 g de maïs en boite, 1 branche de céleri, 15 olives vertes dénoyautées, 150 g de comté, 4 c. à soupe d’huile, 2 c. à soupe de vinaigre de cidre, 1 c. à café de moutarde à l’estragon, sel et poivre.

1° Faites cuire l’épeautre dans de l’eau salée environ 45 min jusqu’à ce qu’il soit tendre. Egouttez-le et mettez-le 45 min au frais.

2° Coupez la branche de céleri en 3 tronçons, recoupez-les en 4 bâtonnets et plongez-les dans l’eau froide additionnée de 15 glaçons pour les courber.

3° Nettoyez les radis et émincez-les. Ecossez les fèves et ébouillantez-les1 min, retirez leur peau.

4° Battez l’huile avec le vinaigre, le sel, le poivre, la moutarde dans un saladier. Ajoutez l’épeautre, les olives et le fenouil émincés, le maïs et le céleri égouttés, les radis, les fèces et le comté coupé en dés. Décorez avec les feuilles du céleri. Servez frais.

Vin : Cabernet d’Anjou rosé fruité

Epeautre : dans les magasins bio

Informations Communales: 1 Etat Civil

NAISSANCE : Bienvenue à Valentine BELLANGER, née le 16 avril 2016 à Villeneuve sur Lot : Félicitations aux heureux parents domiciliés à Neupans

 

2. TRAVAUX EN COURS ET A VENIR :

Le marché concernant les travaux de mise aux normes « accessibilité handicapés » du bâtiment Mairie/Ecole avec la construction d’un parvis et d’un bloc sanitaire est bien avancé et devront être terminés courant juillet 2016. Nous tenons à remercier toutes les entreprises qui ont respecté le calendrier prévisionnel d’exécution.

   Deux personnes à mobilité réduite ont tenu à témoigner sur ces travaux qui sont :

 TEMOIGNAGES :

Elisabeth de Savignac sur Leyze : Vive l’accessibilité pour tous dans un bâtiment public polyvalent !! (mairie, école, espace troisième âge)

Pour tout le monde qui veulent garder leur autonomie et le sens de la dignité le plus possible :

Pour des personnes/enfants : en fauteuil roulant, en mobilité réduite avec ou sans déambulateur/canne, pour les aveugles ou à la vue faible.

Et pour des jeunes mères/pères, grand-mères, nounous avec des poussettes.

Malheureusement le bâtiment est situé d’une façon que c’était nécessaire de faire des gros travaux important et couteux pour mettre les choses en place et aux normes. Comme partout en France et en Europe…on peut pas rester dans l’ancien siècle !

J’hâte le moment de l’inauguration et de l’ouverture de ce beau projet !!

Liesbeth
 

Patrick-Jean de Sète : J’ai eu l’occasion de voir les travaux en cours concernant l’accessibilité pour handicapés devant votre mairie/école. Je me déplace en fauteuil roulant et je félicite M. le Maire et son conseil municipal des travaux entrepris pour faciliter la vie des handicapés. Il faudrait que la loi sur l’accessibilité soit appliquée partout, ce qui est loin d’être le cas.
Félicitations pour votre bel ouvrage !

3. DIVERSES INFORMATIONS COMMUNALES :

1. Nouvelle embauche:  Suite au départ d’Alain BRIGNOL, agent d’entretien, le conseil municipal a embauché Damien SALVAN de FUMEL, en Contrat Emploi Avenir, le 4 avril 2016, pour une durée d’un an, renouvelable deux fois. Une convention de mise à disposition a été signée avec deux autres communes : Lacaussade et Monségur. En effet, il travaille sur trois communes, réparties de la façon suivante : 6H à Lacaussade, 19H à Monségur et 10H à Savignac sur Leyze. Il a bien pris ses repères et nous sommes satisfaits de son travail.

2. ENQUETE PUBLIQUE SUR L’ISDND (Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux) :  Nous vous rappelons que l’enquête publique concernant la demande d’autorisation de prolonger l’exploitation de l’ISDND situé au lieu-dit « l’Albié » sur le territoire de la commune de Monflanquin se termine le lundi 11 juillet 2016. Un dossier et un registre d’enquête est à votre disposition à la Mairie. Mme Sylvie RIVIERE, désignée comme commissaire enquêteur, siègera à la mairie de Monflanquin où toutes les observations peuvent lui être adressées. La dernière permanence aura lieu le lundi 11 juillet de 14H à 17H. L’avis d’enquête publique est affiché à la porte de la cave.

3. LE SITE WEB : Atlas des paysages…     L’atlas des paysages de Lot-et-Garonne constitue un cadre de référence permettant de construire une culture paysagère commune à tous les acteurs de l’aménagement et de promouvoir la prise en compte du paysage dans toutes les démarches de planification territoriale et les projets d’aménagement et de développement. Cet atlas a été élaboré sous maitrise d’ouvrage du Département 47 avec le concours financier de L’Etat, entre février 2014 et juin 2016.L’ensemble des études a été confié à une équipe pluridisciplinaire (paysagistes, architectes, agronome, géographe, concepteur du site) et mené en partenariat avec la DREAL, la DDT, le STAP, le CAUE et d’autres services concernés (Chambre d’agriculture, Comité départemental du tourisme). 

4. AUTRES INFORMATIONS : 

- Après la page sur l’ATLAS DES PAYSAGES, vous avez une autre page où il est question de prévention pour réduire les conséquences sanitaires, par Présence Verte, en cas de canicule cet été.

-A partir du 1er juin 2016, vous pourrez vous inscrire gratuitement sur le registre d’opposition au démarchage téléphonique (voir ci-après, comment faire, explication par Service-Public.fr).