lundi 5 octobre 2015

Les Aînés ruraux : Voyage au Pays Basque, 29, 30 /06 et 1/07


1er jour : lundi

Nous partons de bonne heure de Savignac et nous faisons le plein du car à Villeneuve.

Après un petit déjeuner à Mont de Marsan, nous prenons la direction de Bayonne. Comme de coutume, il y a le comptage du troupeau et il manque une brebis !!! Une, deux, trois quatre personnes partent à la recherche de «l’égaré». Au bout d’un quart d’heure tout rentre dans l’ordre.

 A Bayonne, nous visitons les remparts, les anciennes maisons à colombage et nous attaquons le plat de résistance : le jambon de Bayonne que nous dégustons chez un artisan. Celui-ci nous explique les étapes de la fabrication : 1° salaison, 2°bain de saumure avec du sel de Guérande, 3° séchage et affinage.

Après le repas à St Pée sur Nivelle caractérisée par ses remparts et ses maisons aux volets rouges, nous prenons la direction de Cambo les Bains et nous visitons la villa « Arnaga » d’Edmond Rostand, magnifique maison de type basque qui sent bon la cire. Ensuite, nous partons à Espelette où les célèbres piments ornent les fenêtres en septembre. Pour nous, en général du milieu rural nous avons remarqué que les fougères remplaçaient la paille dans les élevages. Nous rentrons diner et dormir à St Pée.

2ème jour : mardi

Nous nous dirigeons vers Sarre pour prendre le petit train à crémaillère de la Rhune (905m).

Le sommet bien dégagé nous permet d’avoir un point de vue magnifique sur les côtes françaises et espagnoles. Après un déjeuner copieux à Dancharia, nous partons vers Ainhoa un des plus beaux villages de France, nous visitons la bastide avec ses maisons typiques, l’église et nous rentrons à l’hôtel. Après le repas, nous assistons à une soirée animée par des danseurs basques.

3ème jour : mercredi

Après Hendaye, nous traversons la frontière pour aller sur la côte basque espagnole jusqu’au mont Jaïkibel un rocher en forme de jumeaux. Après le repas nous visitons St Jean de Luz son église à trois tribunes dans laquelle Louis XIV se maria avec Marie-Thérèse en 1660. Puis en TGV (train à grande vibration) nous circulons dans la ville.

Enfin, il nous faut rentrer à Savignac où nous arrivons vers 21h30.

Ce voyage est une première car le club de Savignac était associé à celui de La Sauvetat ; c’est déjà une « communauté » de clubs et tous sont d’accord pour repartir l’année prochaine.

D’après les notes d’Y. Aureille et Y. Faux