dimanche 29 septembre 2013

Retour à l'énergie animale


Retrouvailles des élèves de l’école de Savignac sur Leyze Années 1988 1991, samedi 17 août 2013

On s’était dit : rendez-vous dans 22 ans…

Même jour, même heure, mêmes pommes

On verra quand on aura plus ou moins 30 ans

Dans la cour de notre école


 
Sous la houlette de Nathalie Pin, ils sont donc venus.

Monsieur et Madame Pin et Madame Campagnac, leur institutrice, les ont accueillis dans la cour de l’école. Il sont arrivés seuls, en couple et même parfois avec des enfants, habitant la région ou plus loin (Millau dans l’Aveyron et même Lyon dans le Rhône) . Après les retrouvailles chaleureuses et les présentations, ils ont redécouvert leur classe et leur cantine et pu apprécier les améliorations.

Didier Veysset a immortalisé l’événement.

Ils sont devenus professeurs, informaticiens, préparatrices en pharmacie, infirmière, cuisinier, graphiste, podologue, militaire, technicien de maintenance, organisateur d'évènements sportifs (moto). Un seul travaille dans l’agriculture . Tous étaient heureux de parler de leur métier.

Une classe unique peut être un bon tremplin pour l’avenir.

Un couple d’anciens élèves s’est même marié il y a 2 ans.

Ils n’étaient que 16. Certains travaillaient, c’était un samedi. D’autres étaient en vacances ou habitent à l’étranger (Estelle Campagnac et Yan Domingo, au Canada). Ils ont du regretter de ne pouvoir être présents.

Dans la salle des fêtes, ils se sont replongés dans les souvenirs avec les albums photos de leur institutrice. : voyages scolaires, échanges avec les correspondants en Alsace, en Savoie et dans l’arrière pays niçois, spectacles de théâtre et d’acro sport, carnaval. Les blagues fusaient surtout sur la tenue vestimentaire de l’époque.

Pendant ce temps le poulet basquaise refroidissait !

La journée s’est terminée par un bon repas, et un dessert d’Hélène Alibert qui aurait du être avec nous mais que son travail retenait.

Ce repas a été aussi l’occasion de parler de Pierrette, la cantinière, et du service à la cantine (par groupe de 2 ils débarrassaient et essuyaient la vaisselle)

Un grand merci à Nathalie qui s’est démenée pour retrouver tout le monde ( merci aussi à Face book) et qui a donné du bonheur à tous.

Le prochain rendez –vous n’attendra sûrement pas 20 ans

N. Pin, B. Campagnac et A. Lacombe

 
Essayez de reconnaître les enfants qu'ils étaient !! Tous ne sont pas présents sur la deuxième photo, en revanche, il y a quelques intrus qui n'étaient pas sur la première.

 

 

Les Aînés Ruraux : Voyage du 16 au 21 juin 2013 dans le Nord de la France et en Angleterre


Nous sommes partis très tôt le matin en direction de Brive où nous prenons le petit déjeuner. Nous nous arrêtons à Vierzon pour le repas de midi . En route pour Paris où cela se complique, ce n'est pas évident pour un car de contourner la capitale, certaines voies de dégagements, étant interdites aux bus. Au loin, nous apercevons la Tour Eiffel et les grandes tours

Enfin, nous voilà sur la route d'Amiens et la Picardie avec ses grandes plaines. Des champs de blé, de pommes de terre et de betteraves à perte de vue. Quelques grandes fermes avec des troupeaux de vaches laitières, mais aussi beaucoup de troupeaux de vaches à viande. Dans l'ensemble, c'est une contrée très riche.

Nous arrivons en soirée à Berck sur Mer, petite ville au bord de la Manche. Nous sommes un peu "flappis" après tant de kilomètres.

Le 2ème jour : départ pour Amiens où nous visitons les Hortillonnages cultivés depuis le Moyen Age par les hortillons. Ces jardins flottants constituent une mosaïque de 300 ha de jardins maraîchers et d'agrément à l'intérieur de la ville d'Amiens. Enserrés par les bras de la Somme et de l' Avre, les parcelles sont séparées par de petits canaux appelés "rieux" en picard. On les découvre en barque traditionnelle à cornet.

Puis , nous nous dirigeons vers la Cathédrale d'Amiens. Cet immense vaisseau de pierre est classé depuis 1981 au Patrimoine Mondial de l'UNESCO. L'harmonie de ses proportions, la pureté de ses lignes, sa statuaire abondante, véritable dentelle de pierre en font l'un des plus beaux exemples de l'art gothique. Elle est aussi le plus vaste édifice gothique jamais construit, elle pourrait contenir deux fois Notre Dame de Paris, sa flèche culmine à 112 m.

Du restaurant au bord de la Somme nous pouvons voir à loisir cette merveille tout en dégustant le plat typique de la région la ficelle picarde, c'est une crêpe fourrée avec du jambon, une duxelles (hachis) de champignons, de béchamel et de gratinée.

L'après-midi, nous visitons les Jardins de Valloires qui sont attenants à l'abbaye du même nom. Ces jardins s'étendent sur 8 ha et intègrent une collection botanique de plus de 5000 espèces de plantes et d'arbustes. 5 jardins contemporains évoluent au fil des saisons et du temps.

3ème jour : Départ le matin pour Calais en direction de la gare du Shuttle. Après un passage obligé à la douane et de nombreuses formalités, notre car se faufile à l'intérieur d'un container réservé aux bus. Chaque véhicule est séparé des autres par un système de portes très renforcées pour éviter les collisions en cas d'accident. Après 35 mn, nous revoyons le jour, nous sommes en Angleterre. En route pour Londres !!! Il faut rouler à gauche !!! Cela ne décourage pas trop notre chauffeur.

A l'aide d'un guide, nous découvrons les principaux monuments : les palais, les église, la City, et la Tour de Londres qui est en fait une grande forteresse qui servait autrefois de prison. C'est dans cette tour que sont gardés les joyaux de la Cour d'Angleterre. Nous traversons le Tower Bridge, ce pont au dessus de la Tamise est composé de deux tabliers mobiles pour que les bateaux puissent passer. A chaque extrémité il y a  2 tours reliées par une passerelle (43m) permettant le passage des piétons traversant la Tamise. Nous sommes assez surpris par le nombre impressionnant de bus rouges à impériale, de taxis jaunes, en raison du manque de parkings. La circulation paraît plus fluide qu'en France. Après un déjeuner dans un pub, retour vers le channel.

4ème jour : En route vers le nord, Dunkerque, plus exactement Ghyvelde pour une halte à la ferme Bemmelaers Walh. C'est un pittoresque musée de campagne aux riches et diverses collections des métiers disparus avec des outils, des ustensiles, des objets, des jeux flamands et des véhicules……

Après un déjeuner sur place avec les produits du terroir , sans oublier les pommes de terre cuites au four avec du beurre de ferme, de la charcuterie maison, fromage avec l'inévitable Maroilles et enfin la tarte à la chicorée et au sucre. Au retour, arrêt à Calais pour visiter l'Hôtel de ville, remarquable monument avec son beffroi et son jardin où trône la statue des "Six Bourgeois " de Rodin. Nous avons appris à l'école que 6 bourgeois avaient sauvé la ville pendant la guerre de Cent ans.

Ensuite,  nous nous dirigeons vers la côte au Cap Blanc Nez, mais le ciel est brumeux et donc la vue sur les côtes anglaises est très floue, de même pour le Gris Nez. Nous retournons à Berck, où les plus courageux font une promenade le long de la plage immense, certains, ont même vu des phoques se prélassant sur le sable.

5ème jour : au programme, visite de la baie de Somme en bateau, pas de chance, il bruine, la vue n'est pas très bonne. Après-midi, direction Boulogne sur Mer pour la visite de Nausicaa, immense aquarium dédié à la connaissance de l'environnement marin. Nous pouvons admirer les requins et toute la faune que recèlent les fonds marins.


Au retour, tour panoramique de Montreuil sur Mer, cité historique entourée de remparts. Nous longeons la côte et nous traversons Le Touquet  Plage, ville balnéaire avec ses superbes villas et sa plage.

6ème jour : voilà, c'est fini, il faut repartir, une longue journée de car nous attend. Il est tard le soir quand nous rejoignons nos pénates.

J. FAURE











samedi 28 septembre 2013

La "sardinade"; le 7/9/2013



 

Une quarantaine de personnes, pour déguster les sardines. Les anglais les apprécient, car ils étaient une quinzaine à s'être déplacés. La faible participation s'explique par l'existence de nombreuses manifestations dans les communes voisines.

Le Comité des fêtes : Le méchoui de la fête le 24/8/2013

 

 

Les bénévoles, ont été, comme d'habitude très actifs pour concocter un bon repas très apprécié par les 120 convives

La musique a permis de se dégourdir les jambes entre les plats,  mais elle a du s'endiabler à la fin pour faire virevolter tous ces adeptes de la danse

L'AKCS


Cette année, nos 15 pilotes étaient inscrits au Trophée d' Aquitaine qui comptait 7 courses.

Les meilleurs de la région, ont participé au championnat national qui se déroulait  à Lachapelle Vicomtesse (41) pour les karts et à Rouillé (86) pour les voitures.

Résultats du trophée :
 
Kart 602-652 Kart 500, 44inscrits
  • Knoffli Yvan : 11°
  • Meauxsoone Christian : 15°
  • Freyne Damien : 19° 
  • Bellanger Frédéric : 24° 
  • Glanes Nicolas : 25°
  • Lambert Xavier : 26°
  • Glanes Alain : 37°
 
Voiture 2l
  • Bertrand Yann 37°
Les pilotes qui ne sont pas classés au trophée, n'ont participé qu'à des amicales.

Pour la première fois l'AKCS, n'a eu aucun représentant au championnat national. Comme chaque année, nous organisons un repas moules frites qui aura lieu le samedi 5 octobre Vous avez jusqu'au 1er octobre pour vous inscrire. Notre Assemblée générale se tiendra le samedi 7 décembre.

Gym Volontaire


Il est temps de revenir à "La Grange" tous les mercredis soir à 20h30 afin de retrouver une grande forme dans la joie et la bonne humeur. A bientôt.

Dates à retenir


  •  Samedi 5 octobre : repas moules-frites de L'AKCS
  •  Dimanche 20 octobre : repas des Aînés Ruraux
  • Don du sang, salle des fête de Monflanquin : lundi 4 novembre de 8 h 30 à 12 h 30,  lundi 30 décembre de 8 h 30 à 12 h 30

Famille Mas-Maury David, Florence, Manon et Camille, au Bourg, 2013

David, est né à Villeneuve. Son métier, c'est plaquiste, mais, c'est un un seuls artisans à savoir encore gâcher le plâtre. Il ne pouvait faire que cela, car issu d'une famille de plâtriers : son grand-père, son oncle, son cousin..

Il travaille un peu à Savignac, mais sa zone d'action, c'est le villeneuvois.

Sa famille, issue de Villefranche du Périgord lui a donné le goût des promenades dans les bois après les pluies de septembre ou d'octobre.

Florence, est originaire de Ste Radegonde (Villeneuve). Elle travaille dans une société qui a loué les cuisines de l'Oustal à Villeneuve. Cette entreprise prépare des repas pour l'Oustal, mais surtout en conditionne de nombreux qui seront livrés dans des écoles, des maisons de retraite ou à domicile…… Ainsi, elle livre à Fumel, Astaffort, Lectoure…

Marion est née en 2004 à Villeneuve, d'abord élève à La Sauvetat, elle est actuellement en CM1 à Savignac. Elle aime le sport, elle va cette année faire du Karaté à St Sylvestre. Pour l'avenir, elle envisage de devenir maîtresse des petits ou alors un métier dans le sport.

Camille, est née en 2008. Elle est élève en grande section de maternelle à La Sauvetat, dans la classe de Mme Polgaire.


Elle aime l'école, ses petites copines et les chats….

La famille Mas-Maury participe aux activités de la commune, repas, pétanque de la fête…


La famille Mas-Maury a acheté la maison en 2007 à la famille Campagnac.


Cette maison a été construite en 1885 par la famille Pitot, une famille aisée et très influente à Savignac pendant tout le 19ème siècle.

Dans cette maison existaient 2 fours à prune traditionnels et une étuve à chariot très moderne pour l'&poque. A la fin du 19ème, la prune d'ente était en pleine expansion, ainsi la Famille Pitot achetait des prunes vertes et les faisait cuire en utilisant une grande main-d'œuvre féminine. Des marchés aux prunes avaient lieu dans tous les villages.

Après les Pitot, la maison est habitée par la famille Campgnac venant de Couderc jusqu'en 1935 date de la construction de la maison actuelle. Elle deviendra un débarras jusqu'à son achat en 2007 par la famille Mas-Maury.

A partir de ce moment, David s"attaque à la rénovation de la maison, il ne reste qu'un four.


Tout est retracé, modernisé, isolé…Et cela devrait se terminer en 2014 par l'aménagement du terrain.

Les réfugiés sanitaires à Savignac pendant la guerre de 39-45 : La vie à Granger de Roger Lantier


Ainsi donc, après avoir gravi un chemin pentu empierré raviné par les pluies d'orage je découvre le cœur de cette propriété familiale qui va de venir pour moi un havre de paix et de tranquillité.

La maison est accueillante dans sa simplicité tout comme ces gens qui vont m'héberger pendant quelques mois et que je reverrai périodiquement pendant plusieurs années.

Leur gentillesse et leur affection ne suffisent pas à combler le vide qui s'est emparé du cœur de ce bonhomme de six ans. D'autant que cette famille vient de savoir et qu'entre eux ils parlent avec des mots de leur province. Cela ajoute un peu plus à mon isolement car, par ailleurs, c'est le patois local.

Mais, petit à petit, je prends mes repères dans cette maison aménagée simplement . Proche d'elle, sur le talus, une autre bâtisse sert de réserve pour les provisions alimentaires, notamment, le fromage fait maison, le vin de la propriété vinifié par Francis.

En face, un grand corps de bâtiment abritait : remise étable, porcherie et atelier. Tout autour des terres cultivées, des prés, de la vigne, le potager et plus loin un grand bois. C'est mon nouvel univers que j'apprivoise en me mêlant à la vie de la ferme.

La famille Tornier est très chrétienne et avant de prendre connaissance des manuels scolaires, mon éducation passe par la prière et notamment par le recours à la protection divine quand les éclairs d'orage zèbrent le ciel. Nous ne manquions pas une messe  dominicale et je devais également des prières à mes parents et je voyais de temps en temps le curé venir bénir les lieux. C'est nouveau, mais dans cette atmosphère austère, je sens que je commence à m'imprégner de cette vie particulière façon GRANGER.

Progressivement, je me rapproche de ces animaux qui m'impressionnent : dindons, oies, canards, cochons et bétail que je garderai sur la grande pièce qui surplombe la route venant de La Cambe de l'Homme, d'où de temps en temps j'adresse quelques signes à Aimée, Janine et leur maman qui vont à bicyclette au village. D'autrefois, ce sont les Bascole de Montmarèsou Oswald Aureille ou Yvon Laparra.

Là, je suis près des terres des Bellanger, presque en face de Lauzel, je vois le clocher de l'église, la maison des Durand, l'atelier du charpentier Réaust, le toit de Luguet, le tertre de Monségur et haut perché Monflanquin, de l'autre côté, chez Seunes.

Mois après mois, je participe aux divers travaux : garder les dindons qui aimaient les raisins autant que moi, aider aux champs, au potager, à la récolte des haricots verts et secs, à l'arrosage des tomates en plein champ……

C'était la vraie vie paysanne, rythmée par les saisons qui m'a été inculquée et à laquelle est venu s'ajouter un nouveau greffon, la scolarité pendant laquelle j'ai connu d'autres enfants du village et des alentours. Les petits travaux, c'était avec Mamie Tornier et Yvonne, les plus durs avec Francis, l'homme de la ferme.

Une anecdote à propos des haricots secs : ils étaient battus à même le sol dans la cour. Le maximum était ramassé pour la consommation de la ferme et dans le tas de cosses et de poussière qui restait, je finissais de trier et une poche de grains était envoyée à Bègles.

J'étais devenu au fil du temps un assistant apprécié : je savais mettre les bêtes au joug pour atteler charrette, charrue et tombereau, moyens de travail ou de transport, notamme,t pour aller au village porter les sacs de blé à la boulangerie Eyma.

En échange du grain, il nous était remis des tickets qui payaient ce bon pain que nous n'avions plus à Bègles.. Dans le fournil, parfumé par les cuissons ou dans la cuisine attenante, il y avait toujours un petit quelque chose à grignoter, précédé d'un accueil chaleureux par Vovo.

On faisait aussi le bois pour la cheminée grosse dévoreuse, on préparait la gamelle du cochon, on ramassait pour les lapins, on jetait le grain aux volailles, tous ces animaux pourvoyeurs de nourriture qui assuraient la subsistance principale de toute la famille.

Cette vie était devenue agréable, le temps passait bien. La communauté savignacaise vivait, il me semble en bonne harmonie autour de son bourg où régnait une atmosphère sereine. Bien sur, il pouvait y avoir quelques "chamailleries" comme partout, mais des rencontres amicales se faisaient fréquemment dans les commerces nombreux à l'époque : boulangerie Eyma, les épiceries Laduranty et Laporte, la recette postale chez Laduranty, la forge Laporte, le café Testut avec le bal le dimanche. Le dimanche, les offices religieux auxquels les paroissiens étaient appelés par la cloche sonnée par M. Cancé qui était aussi facteur. M. Lambert, coiffeur s'installait le dimanche dans la maison à côté de l'église. La mairie était ouverte le Dimanche matin. Ces moments de rencontres et d'échanges servaient aussi à la circulation de toutes les nouvelles concernant la vie des familles et des exploitations.

En août, c'était le fête votive. Qui était le Saint ? Les gens venaient de tout le canton. Nous nous y amusions gentiment, naïvement, jouant quelques sous. La plus belle et la plus joyeuse animation était le bal sur la place devant chez Laporte. Les flonflons émouvants des saxos et accordéons nous appelaient jusqu'au loin à participer à ce rendez-vous annuel clôturé par un feu d'artifice. C'étaient de bons moments.

Le dimanche après-midi, à travers champs, je rejoignais mes sœurs, soit à Luguet, soit à Bécade. Ces retrouvailles fraternelles étaient très importantes mais trop courtes. Je repartais souvent le cœur gros. Je devais rentrer pour garder les vaches, eh oui, même le dimanche. Je me retournais souvent pour apercevoir encore Luguet ou Bécade.

Les jours, les mois de cette vie nouvelle s'écoulaient ainsi, presque réglés d'avance. Je crois que je m'ennuyais un peu, j'étais peiné, c'est sûr. La maman et le papa étaient loin, pas joignables comme aujourd'hui. Les petites sœurs grandissaient sans nous. Nous ne pouvions pas leur faire partager les moments sereins que nous vivions.

Roger LANTIER

Écoulons les pruneaux : Le Far Breton


Ingrédients : 220 de farine, 130g de sucre en poudre, 1 sachet de sucre vanillé, ¾ de litre de lait, 5 œufs, 20g de beurre, 500g de pruneaux.

Temps de préparation : 15 mn, temps de cuisson : 60 mn.

Pour 6 personnes

Préchauffez le four à 180° thermostat 6.

Dans un saladier, mélangez, le sucre, la farine et ajoutez le sucre vanillé. Puis ajoutez les œufs en prenant soin  de bien mélanger. Versez le lait et ajoutez le beurre au préalablement fondu, puis mélangez jusqu'à ce que vous ayez obtenu  une pâte homogène.

Ajoutez vos pruneaux dénoyautés.

Beurrez  le fond de votre moule et versez-y la pâte. Patientez 1 heure environ.

Informations communales 1/2


Etat civil : Décès : le 10 juillet dernier, de M. René, Pierre FAUX à l'âge de 90 ans, habitant ''Fonclares''.

Nos sincères condoléances à la famille.

Conseil Départemental de l’Accès au Droit : Ce dispositif permet à tous d’avoir accès à des professionnels du droit qui tiennent les permanences suivantes :

-      Les huissiers de justice assurent les permanences juridiques pour les demandes des justiciables relatives à la signification des actes de procédures, l’exécution des décisions de justice, le recouvrement des créances (impayés de loyers, pensions alimentaires…), l’établissement des constats… Ces permanences ont lieu, sur rendez-vous à la maison de la vie associative, 54 rue de Coquard à Villeneuve sur Lot, le 2ème jeudi de chaque mois, de 17 h à 19 h. Les rendez-vous sont à prendre au secrétariat de la chambre départementale des huissiers de justice de Lot-et-Garonne, au

05 53 47 01 47 en précisant ‘’permanences juridiques gratuites’’.

-      Les avocats assurent aussi des permanences juridiques, sur rendez-vous pour répondre aux demandes des usagers dans tous les domaines du droit : droit de la famille, droit du travail, droit de la consommation, droit du logement… Leurs permanences ont lieu à la maison de la vie associative de Villeneuve-sur-Lot le 3ème lundi de chaque mois, de 17 h à 19 h. Les rendez-vous sont à prendre à l’ordre des avocats du barreau d’Agen au 05 53 98 03 15.

Les prises de rendez-vous sont obligatoires afin de pouvoir gérer les rencontres et permettre à chacun d’exposer sa demande. La durée d’un entretien est de 20 minutes environ.

A noter que prochainement, seront mises en place des permanences juridiques de notaires.

Chemins de randonnées : Après discussions au sein de la communauté de communes, le Comité Départemental du Tourisme vient de nous proposer la création de 3 boucles qui empruntent des chemins ruraux et voies communales du village. Les élus doivent en débattre avant l'officialisation par la communauté de communes et le CDT.

Nous reviendrons sur ce projet dans une prochaine parution.

 Rentrée scolaire : En ce début d’année scolaire, la classe de Mme Lucie MATHE compte 19 élèves (9 en CM1 et 10 en CM2) et notre regroupement pédagogique réunit globalement 85 élèves répartis en 4 classes.

La salle de classe a été repeinte cet été et un programme d’achat de divers matériels informatiques (dont 12 tablettes tactiles) sera effectif dès l’accord de la subvention du Conseil Général. Un grand placard d'environ 5 m de long sera réalisé durant les vacances de la Toussaint qui permettra un rangement plus efficace de tous les documents scolaires.

La garderie fonctionne à partir de 8 h jusqu’à 19 h les jours de classe pour un coût de 10 € par mois et le prix du repas est fixé à 1.92 €. Mme Annie CLOCHARD assume les charges de garderie et de cantine dont les repas sont préparés sur place.

Informations communales 2/2


Travaux : Eglise, consolidation de la chapelle nord : Nous avons reçu des services de l'Etat l’accord du permis de construire. L’architecte des Monuments Historiques doit organiser prochainement sur place une réunion technique. A la suite, sera organisée la consultation des entreprises. Compte tenu des délais administratifs à respecter dans ce genre de dossiers, les travaux seront certainement réalisés durant l’été 2014.

Accessibilité aux bâtiments communaux : Après quelques ajustements sur le projet initial, et comme indiqué dans notre numéro précédent, ces travaux devraient intervenir pendant les grandes vacances scolaires 2014.

Nouveau permis de conduire : Il a la taille d'une carte de crédit, il est sécurisé et plus pratique. Mis en service le 16 septembre 2013, il présente beaucoup d'avantages pour les usagers. - Moins de déplacements en préfecture ou en sous-préfecture et moins de démarches à faire car le permis sera envoyé directement au domicile des titulaires – un permis de conduire reconnu dans toute l'Europe -Il sera renouvelable tous les 15 ans pour les catégories A et B. Toutefois, en cas de perte ou de vol, le titulaire devra se présenter physiquement en préfecture ou sous-préfecture pour les démarches de remplacement.

ASSO 47 : Le service départemental d'aide à la vie associative rappelle qu'il se tient à la disposition des bénévoles et responsables associatifs qui souhaitent recueillir des informations de toute nature concernant la création et la vie des associations. Des experts peuvent être également être consultés sur des points bien précis et des ateliers sont proposés aux personnes soucieuses de parfaire leurs connaissances sur différents thèmes.

Contacts : Service Asso 47 : tél. 05 53 69 43 73. Mail : asso47@cg47.fr.

Elections : Les élections municipales se dérouleront les 23 et 30 mars 2014. Quant aux ''européennes'', leur date est fixée le 25 mai 2014.

Armistice de 1918 : Notre traditionnelle cérémonie se déroulera le lundi 11 novembre prochain. Le rassemblement est prévu à 10 h 30 devant le monument aux morts pour le dépôt d'une gerbe. A 11 h, messe en notre église suivie de la bénédiction des tombes. Vers 12 h 15, le verre de l'amitié sera servi dans la salle des fêtes.